-50%
Le deal à ne pas rater :
-50% Baskets Nike Air Huarache Runner
69.99 € 139.99 €
Voir le deal

Partagez | 
 

 + all the undisclosed desires. (addison)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage



S. Addison Williams
S. Addison Williams
when you were young.

messages : 136
célébrité : dianna agron.
âge du personnage : vingt-cinq ans.



+ all the undisclosed desires. (addison) Empty
MessageSujet: + all the undisclosed desires. (addison)   + all the undisclosed desires. (addison) EmptyDim 31 Mar - 15:54


satine, eden arizona chanelle skylar, addison williams
YOU CAN'T CARRY IT WITH YOU IF YOU WANT TO SURVIVE.

NOM williams. PRÉNOMS satine, eden arizona chanelle skylar, addison . ÂGE vingt-cinq ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE le vingt-huit avril mille neuf cent quatre vingt-huit, Leicester, Irlande. ORIGINE britannique. ACTIVITÉ PROFESSIONNELLE styliste et organisatrice de mariage. STATUT CIVIL bâtarde sensible. J'AIME la musique ▹ la mode en général ▹ écouter de vieux vinyles en boucle ▹ le rock des années soixante-dix ▹ fumer à longueur de journée ▹ regarder le coucher du soleil ▹ mon travail ▹ faire chier mon petit monde ▹ les têtes de morts ▹ voyager ▹ la cuisine italienne ▹ me cultiver ▹ la danse classique ▹ le skate-board ▹ le surf ▹ les tatouages ▹ l'océan ▹ elle ▹ parfois lui ▹ new york ▹ passer de longues nuits à ne rien faire ▹ l'irlande ▹ le cinéma ▹ le théâtre ▹ les sacs à main et les chaussures hors de prix (bawai, j'suis une fille quoi) ▹ les arts en général. JE DÉTESTE les chieurs en puissance ▹ qu'on me tienne tête alors que j'ai parfaitement raison ▹ qu'on me juge sur mon passé ▹ obéir ▹ les promesses qui ne sont bien évidemment pas tenues ▹ les hommes qui se prennent pour les rois du monde ▹ ceux qui pensent me connaitre par coeur ▹ les serpents et les araignées ▹ ne pas avoir de briquet sur moi ▹ ceux qui m'empêchent de fumer parce qu'ils estiment que c'est mauvais ▹ être perdue ▹ les filles qui pensent être au dessus de tout ▹ le matin ▹ le café ▹ les chips au vinaigre ▹ ne plus avoir de bons livres sous la main ▹ les jugements hâtifs ▹ les cigarettes mentholée (c'est dégueulasse faut l'admettre) ▹ ne pas réussir à créer quelque chose ▹ les psychopathes. TRAITS DE CARACTÈRE attentionnée + attachante + déterminée + souriante + impulsive + indépendante + sensuelle + drôle + fidèle + ayant du répondant + câline + jalouse + maladroite + perfectionniste + grande gueule + têtue + entreprenante + rancunière + sarcastique + cynique + curieuse + possessive + bagarreuse + volcanique + sensible (peut être un peu trop) + badass. GROUPE for a pessimist i'm pretty optimistic.

Addison vient d'une famille plus qu'aisée ▷ son père est un puissant avocat américain alors que sa mère est une styliste renommée irlandaise ▷ elle a vécu en Irlande jusqu'à ses vingt ans, puis a vogué entre Londres et New-York ▷ elle a la mauvaise manie de sa craquer les doigts sans cesse et de se mordre la lèvre toutes les cinq secondes lorsqu'elle est nerveuse ▷ son père lui a coupé les vivres lorsqu'il a apprit que la jeune fille ne souhaitait pas devenir avocate ▷ elle s'en est donc sortie comme elle pouvait, elle est devenue call-girl ▷ elle n'a jamais eu honte de sa condition mais ne souhaitait pas que tout le monde connaisse son travail ▷ elle a une véritable passion pour la création de vêtement ▷ elle n'a jamais considéré le sexe comme un sujet tabou, bien au contraire, elle aime ça et ne s'en cache pas ▷ elle est tombée amoureuse de sa meilleure amie ▷ elle est misanthrope sur les bords, lorsqu'elle a un véritable ami, ce n'est pas pour du beurre ▷ cependant, elle a des tas et des tas de connaissances (elle a le bras long dirons nous) mais n'a que très peu de véritable amis ▷ elle est dans une relation relativement compliquée avec un de ses anciens clients dont elle est réellement amoureuse ▷ Milena est d'ailleurs la seule femme dont elle ait eu envie ▷ elle écoute de la musique à longueur de journée, c'est une véritable drogue ▷ elle fume beaucoup trop mais s'en fiche royalement ▷ son entreprise marche très très bien, elle n'a plus de soucis d'argent depuis bien longtemps ▷ elle a eu un véritable coup de coeur pour Hill Valley et compte bien y rester.


⊱ love.disaster - morgane
ÂGE : majorité absolue t'as vu + all the undisclosed desires. (addison) 2568500349. PRÉSENCE : tout les jours. OÙ TU AS CONNU LE FORUM : euh... c'est une véritable question ? CRÉDIT DE LA FICHE : tumblah. UN DERNIER MOT : + all the undisclosed desires. (addison) 3144802872 .

Code:
<span class="taken">dianna agron</span> ▹ s. addison williams



Dernière édition par S. Addison Williams le Ven 5 Avr - 16:07, édité 8 fois
Revenir en haut Aller en bas



S. Addison Williams
S. Addison Williams
when you were young.

messages : 136
célébrité : dianna agron.
âge du personnage : vingt-cinq ans.



+ all the undisclosed desires. (addison) Empty
MessageSujet: Re: + all the undisclosed desires. (addison)   + all the undisclosed desires. (addison) EmptyDim 31 Mar - 15:54

⊱ now you're just somebody that i used to know.

La première chose – ayant toute son importance – que vous devez savoir sur moi, c’est que je suis une pute. Je n’arpente pas les trottoirs en attendant que ça se passe non, ce n’est pas genre. Je suis ce qu’on appelle communément, une call-girl. En gros, je suis une prostituée de luxe et croyez moi, je ne suis vraiment pas à plaindre. Certains me traitent de salope, d’autres de pute ou bien de trainée mais je suis bien au dessus de tout ça. Aimer le sexe ne fait pas de vous une trainée, le problème avec les autres, c’est qu’ils n’ont pas tous l’ouverture d’esprit que vous attendez. Eh oui, navrée mesdames, mais l’ouverture d’esprit ne s’arrête pas à une plaie béante au crâne. Je ne me soucie pas énormément de ce que l’on peut penser de moi, j’y passerais beaucoup trop de temps et le temps, c’est de l’argent. Je ne fais plus partie de ces agences qui vous envois en pâtée à n’importe qui, j'ai arrêté cela il y a quelque temps déjà. Je connais mes clients, tous scrupuleusement répertoriés. Croyez moi, pour éviter les ennuis il vaut mieux être organisée. Je ne me considère pas vraiment comme une fille de joie, j’ai dépassé ce stade, voyez-vous, je vois mon travail comme une sorte de service public. Il m’arrive de passer plus de temps à parler avec les hommes qu’autre chose, cela leur fait du bien de parler avec une inconnue. L’inconnue en question est pourtant beaucoup plus chère qu’un psy. Cela doit être dû à l’attrait de la chaire, quelque chose dans ce goût là. Cela dit, je ne comprendrais jamais le fait d’aller voir une prostituée si ce n’est pas pour prendre son pied. Concrètement, certains sont étranges, d’autres plutôt sympathiques, ça dépend de mon taux de chance. Beaucoup de personnes me demandent pourquoi je fais ce travail, si ce n’est pas dégradant, si je ne me sens pas sale. Avant, non, je n’y pensais absolument pas. Si quelqu’un m’avait trouvé un job qui payait aussi bien tout en ayant aussi peu d’heures, j’aurais peut être réfléchis. Mais ça n’avait jamais été le cas. Je gagnais ma vie aussi bien qu’un des PDG que je pouvais voir défiler dans le quartier des affaires. Pourtant, il y avait des moments ou je ne pouvais m'empêcher de penser à la tête que ferait mes parents si ils savaient tout ça. Après tout, c'était un peu de leur faute si je me retrouvais dans cette situation. Toujours est-il que c'était mon job, rien de plus, rien de moins, juste un job.

« Mais pourquoi tu ne veux pas me présenter à ta famille ? » - « Parce que tu es une pute Milena. » - « T’en est une aussi j’te rappelle. » - « Mais ils ne le savent pas, et c’est différent, tu sais que je ne mélange pas travail et famille. » - « C’est parce que je ne suis pas irlandaise c’est ça ? Vous êtes encore dans votre délire : tout ce qui n'est pas irlandais craint à mort ? » - « Oh je t’en prie, arrête avec ton complexe à la con. » Milena lâcha un soupir en se laissant tomber sur le lit qui trônait devant nous. Sa nouvelle lubie en date était de rencontrer ma famille, ce n’est pas que cette idée me déplaisait, simplement, je ne voyais pas trop de quoi elle allait bien pouvoir leur parler. J’avais assez de mal à tenir le coup lors des réunions familiale alors une inconnue. Je doutais sincèrement qu’elle puisse rester stoïque face à tout ça. Elle avait le même genre de parents que moi, du genre à vous couper les vivres parce que vous n'agissez pas pour leur intérêt, tout était normal. Alors elle avait décidée de devenir call-girl, comme ça, du jour au lendemain. Milena faisait partie de ma vie depuis quelques mois seulement et pourtant, je la trouvais tellement attachante que je n’arrivais pas à lui dire concrètement que ce n'était pas possible du tout. Pour être tout à fait sincère, avoir des amies lorsque l’on fait ce métier, c’est beaucoup plus compliqué que prévu. Personne ne vous connaît réellement au final, et devoir inventer des excuses bidon dés qu’il y a un rendez-vous qui se profil, ce n’est pas extraordinaire. Milena était allongée sur le lit, jouant avec la couverture, son regard en disait long. « Tu sais très bien que je t’aime, t’imagines pas des choses stupides. » - « C’est juste que j’avais pensé avoir une implication dans ta vie c’est tout. » - « Mais qu’est ce que tu veux leur dire ? Mon père s’imagine qu’à la suite de mes études j’ai été embauchée dans un cabinet, si il apprend que tout ça c’est du vent, il me tuera probablement. » Lâchais-je platement en rangeant mes vêtements. Faisant la moue, je regardais mon amie qui passait soudainement bien rêveuse. « Tu crois que, cette fois, il te retirera réellement de l’héritage ? » - « Il me tuera, pour de vrai. » Je savais que je n’exagérais pas. C’était soit moi, soit mon père, dans les deux cas, on serait vraiment moins nombreux dans la maison. Je vous arrête de suite, je n’étais pas venu en Australie dans le but de devenir une prostituée, loin de là, ça n’avait jamais été dans mes plans d’avenirs. Bien au contraire. Je venais d’une famille plutôt aisée, je n’avais jamais manquée de rien. Cependant, mon père n’avait pas apprécié que je quitte mon Irlande natale pour découvrir de nouveaux horizons et avait bloqués tout mes comptes, sans me donner plus d’explications. Alors j’avais fait des études de droit, comme il l’avait toujours voulut, ce qui avait eu pour effet de calmer son désarroi à mon égard. Simplement, il était arrivé un moment ou je n’avais plus les moyens de payer quoi que ce soit, bien trop fière pour demander quelque chose à ma famille après cette mise à l’écart, j’avais été contrainte de trouver quelque chose ne me prenant pas trop de temps. Voilà comment j’en été arrivée là, un manque cruel de ressources. Toujours est-il que mon statut n’était pas à plaindre, je n’étais comme ces filles de l’est qui se font martyrisée par leur mac, qui se drogue et boivent pour oublier. Parce que, avouons le, c’est malheureusement monnaie courante à Melbourne. C’était un choix de vie, ce n’était pas le meilleur, je devais en convenir mais ce n’était pas non plus le pire. Je ne comptais devenir une maquerelle, ni continuer cela durant toute ma vie. J’avais un réel projet de vie que je comptais mener à bien. Malheureusement, je n’étais pas du tout ce qu’il souhaitait mais c’était ainsi que je m’étais sortie de mes problèmes, grâce à tout ça. J’avais commencé au sein d’une agence, en règle général, vous ne voyez jamais de pauvres petites filles perdues, c’est même tout le contraire. Des jeunes femmes maitre de leurs vies, de leur sexualité qui n’ont rien à cacher. Cependant, travailler pour quelqu’un est éreintant, vous devez vous plier aux règles, aux idées, aux clients, et croyez moi, ce n’est pas le plus exaltant. Alors j'avais quitté l'agence, mais je continuais toujours de bosser avec Milena, elle était en quelque sorte à moi, voilà tout. En attendant, cela faisait vingt minutes que nous devions quitter la maison de notre client et nous étions toujours à moitié à poil en train de se poser des questions existentielles. La jolie rousse disparut de la circulation un bon moment, cherchant mes vêtements, elle me sortie de mes recherches assidues en hurlant comme une dégénérée. « Mais qu’est ce que tu fous ? » - « Je fais un tennis, ça se voit pas ? » Milena poussa un long soupir en se laissant tomber une nouvelle fois sur le lit. « Non mais, faut qu’on y aille, sa femme va pas tarder et si on est encore là ça va mal aller. » - « T’as deux minutes, j’trouve pas mes sous vêtements là ! » Je marmonnais ça tout en regardant sous le lit, comment un string pouvait-il disparaître, expliquez moi par quel miracle ça peut arriver. « T’as qu’à rester à poil sous tes fringues. » Susurra-t-elle en m’entrainant dans le couloir, bien sûr, pourquoi n’y ai-je pas penser plus tôt, c’est d’une logique infaillible. En attendant, si la femme de notre cher client trouvait quelque chose qui m’appartenait, j’étais pour ainsi dire très mal. Sortant de la propriété, j’allumais une cigarette en regardant autour de moi, super, notre taxi n’était toujours pas arrivé. Il était hors de question que je me tape vingt kilomètres à pied sous prétexte que Milena n’allait pas vouloir attendre quelques minutes de plus. Au point ou on en était, ça ne pouvait pas être pire.

Assise en tailleur sur le lit, cela faisait près d’une heure que je regardais Conor faire les cent pas. Non pas que je commençais à avoir froid comme ceci, en sous vêtements, mais c’était un peu le ressenti que j’avais. Me faufilant de l’autre côté du lit afin d’allumer le chauffage à fond, je posais mon regard sur mon client préféré. Il n’était pas comme les autres, il était réellement différent. C’est dans ce genre de moment que vous vous rendez compte qu’il y a un problème. Je tombais amoureuse de lui, comme une idiote, comme une bleue. Alors que je savais pertinemment que je ne pouvais pas me permettre de penser à ça. J’étais une pute, point à la ligne, personne ne voulait de ça, ni maintenant, ni jamais. Faisant volte-face, s’allongeant à mes côtés, il semblait être dans un autre monde. « Aide moi, s’il vous plait. » - « Eh bien, ce n’est pas compliqué, il faut lui dire ce qu’elle attend depuis longtemps, un je t’aime que tu penses réellement. » - « Je… Je t’aime ? » - « Non, pas comme ça, encore. » - « Je t’aime ! » - « Encore. » - « Je t’aime.. Peut être.. ? » Éclatant de rire, je secouais la tête avec une mine désabusée. Ce n’était pas de cette façon qu’il allait réussir à récupérer son ex lui. « Essaye de penser à un truc que t'aimes vraiment dans ce cas là, un gâteau au chocolat, un steak, je ne sais pas. » Lâchais-je après quelques minutes de réflexion, après tout je n’allais pas lui faire une psychanalyse, j’étais déjà incapable de prononcer ces simples mots, alors aider quelqu’un, ça allait se révéler bien plus compliqué que prévu. Esquissant un sourire, il haussa les épaules avant de s’allonger sur le dos, observant le plafond avec un certain intérêt. « Je crois que… Je ne suis plus tout à fait sûr de tout ça.. » - « De votre amour inconditionnel ? » - « Elle reste persuadée que je suis amoureux de quelqu’un d’autre, nous savons tout les deux qu’elle a raison. » Je savais parfaitement de quoi il parlait. Je savais aussi que je ne pouvais pas lui répondre ce que je pensais vraiment. Même si j’en mourrais d’envie. « Tu sais très bien que ce n’est pas possible. » Soudainement, plus de vouvoiement, il fallait vraiment cesser avec cette connerie. « Et pourquoi pas ? Tu pourrais tout arrêter maintenant si tu le voulais, mais t’es une flippée de l’engagement, on se voit depuis six mois, six mois que tu ne vois presque plus personne, je te paye simplement pour être sûr d’être avec toi, tu trouves que c’est une vie ? » Il n’avait pas tort. Pas tort du tout. J’avais peur, de tout, de moi, de sortir de cette pièce et d’oublier tout ce que je pouvais ressentir. C’était un jeu, une pièce de théâtre, comme si tout ça n’était que mon boulot. J’avais dérogé à toutes mes règles en rencontrant Conor. « Je quitte Melbourne, tu le sais très bien. » - « Tu sais que je te suivrais. » - « Allons, tu n’es pas si désespéré. » - « Je t’aime. » - « Là, tu l’a bien dit. »

Revenir en haut Aller en bas
 

+ all the undisclosed desires. (addison)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 

 Sujets similaires

-
» (addison) - radioactive.
» formspring/addison.
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
never let me go. ::  :: born for this :: you're in !-